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Reliant Scimitar SS1/SST/Sabre : roadster britannique oublié
Reliant est une marque assez méconnue des français, d’autant qu’elle a aujourd’hui disparu. De l’autre côté du channel, Reliant garde encore de nombreux adeptes de ses véhicules à trois roues comme la Robin, de son adorable shooting brake Scimitar GTE, ou de la concurrente malheureuse de la Mini, la Kitten ! Durant les années 80, la petite marque anglaise tenta de prendre la relève des roadsters à l’anglaise type MG avec une petite sportive abordable qui reprenait le nom de Scimitar en y rajoutant SS1 (pour Small Sports 1).
PAR PAUL CLÉMENT-COLLIN - 17/10/2018
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Reliant Kitten : l'inconnue concurrente malheureuse de la Mini
L’Angleterre avait quelque chose de magique en terme d’automobiles à une certaine époque: de petits constructeurs pouvaient espérer « vivre » aux côtés des gros en proposant des kits cars, des petites sportives, des voitures à trois roues ou bien de petites citadines. C’est le cas de Reliant, bien connu des amateurs pour sa fameuse Scimitar (lire aussi : Reliant Scimitar), mais aussi pour sa petite Robin à 3 roues (une spécialité anglaise). Dans les années 80, Reliant fera même une incursion sur le marché des taxis avec Metrocab (lire aussi : Metrocab). Ce qu’on sait moins, c’est que la marque anglaise aura tenté (avec beaucoup moins de succès il est vrai) de concurrencer la vénérable Mini avec une petite citadine du nom de Kitten.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 17/01/2017
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Autocars : de la fibre de verre au pays des oranges !
Alors qu’aujourd’hui, Israël est souvent synonyme de « high tech », je me suis toujours demandé pourquoi il n’y avait pas de constructeur automobile national. Bien sûr, l’étroitesse du marché et l’instabilité politique ne plaide pas en la faveur d’une industrie automobile israélienne, mais la question méritait d’être posée. C’est en travaillant sur la marque Reliant (lire aussi : Reliant) que j’ai découvert qu’une marque automobile avait sévit des années 50 jusqu’au tout début des années 80, enchaînant les faillite pour finir par disparaître définitivement.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 09/11/2015
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Anadol A6 Böcek : buggy à la turque !
Si je vous parle de la Turquie, vous ne penserez pas tout de suite à son industrie automobile, malgré l’implantation de plusieurs marques internationales comme Ford, Fiat ou surtout Renault, mais plutôt au Bosphore, à Istanbul ou Izmir, voire à ses kebabs. Il faut dire que l’industrie turque ne compta qu’une seule et véritable marque nationale : Anadol (lire aussi : Anadol). Cette petite marque fondée par l’industriel Vebi Koç, associé à Bernar Mahum tenta pendant près de 25 ans d’exister grâce à des modèles originaux à la carrosserie en fibre de verre (grâce à l’association avec le constructeur anglais Reliant, lire aussi : Reliant).
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 04/07/2014
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Reliant : une marque so british
S’il existe une marque typiquement britannique, c’est bien Reliant, créée en 1935 par Tom Lawrence Williams, un ancien de Raleigh Bicycle qui n’accepte pas l’abandon du créneau des tricycles par son employeur. Dans son garage à Tamworth, puis dans un grand hangar, Williams poursuit la fabrication du tricyle Raleigh, malgré l’arrêt des avantages fiscaux pour ce type de véhicule en 1938. Williams est têtu et croit dur comme fer au succès des tricycles. Après avoir passé la guerre à participer à l’effort de guerre en fabricant des pièces détachées, Williams persévère après-guerre, et connaîtra un certain succès avec sa Regal (produite de 1953 à 1973). Reliant restera jusqu’à la fin fidèle aux trois roues, en produisant la Robin (1973-1981), puis enfin la Rialto (qui reprendra le nom de Robin à la fin) de 1982 à 1998.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 22/04/2014
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Anadol : un rêve de Koç
Vebi Koç est un homme d’affaire turc têtu, et grand amateur d’automobile. Il a un rêve au milieu des années 50 : offrir à la Turquie une marque automobile nationale. Il a déjà fait fortune dans la distribution d’automobiles et la construction de tracteurs, et s’allie d’abord à Ford pour produire des camions et des véhicules particuliers, en créant Otosan en 1959. Déjà à cette époque, on le prend pour un fou. Il faut dire que le marché automobile anatolien n’est pas très développé, avec 2 à 3000 ventes annuelles. Qu’à cela ne tienne, Koç persiste. Il n’oublie pas son rêve de créer sa propre marque, et finira par sauter le pas en 1966 en créant Anadol.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 21/04/2014
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