A une certaine époque, on avait un certain choix automobile quand on avait de l’argent. Outre les constructeurs que nous connaissons encore aujourd’hui (Rolls, Bentley, Jaguar, Maserati, Porsche, Lamborghini pour ne citer qu’eux), on pouvait jouer l’original et rouler en Bristol pour le raffinement, en de Tomaso pour la force brute, en Monica (pour la rareté), en Monteverdi (pourquoi pas rouler suisse?) ou en Jensen pour l’innovation technologique. Et encore je raccourci volontairement la liste.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 11/03/2014