MINI Cooper Innocenti 1975
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En 1991, après vingt ans d'absence, la Cooper revient au catalogue Mini. Animée par le célèbre moteur A-Series de 1275 cm3 développant 61 ch, l'auto s'avère particulièrement amusante à conduire.
En 1960, la Mini se transforme en break sous le nom de Countryman. La plupart des exemplaires ont reçu des décorations latérales en bois, qui participent grandement à leur charme.
Pour le millésime 2020, Mini commercialise la JCW GP, série limitée à 3000 exemplaires se caractérisant par son moteur 2 litres turbo de 306 ch. L’auto reçoit un kit carrosserie spécifique et des suspensions recalibrées.
En 2001, BMW relance Mini avec un tout nouveau modèle. La Cooper S, développant 163 ch, est la plus performante de la série. Elle est d'autant plus désirable en version cabriolet.
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Mini, la première citadine moderne
En 1959, l’apparition de la première Mini provoque une véritable révolution technique qui va inspirer bon nombre de constructeurs par la suite. Due au talent de l’ingénieur Alec Issigonis, l’auto se caractérise en effet par l’adoption de la traction avant – encore très minoritaire dans la production de l’époque – associée à un moteur transversal. Résultat : dans la Mini, la mécanique n’occupe que 20 % de l’espace disponible, pour le plus grand bénéfice des passagers et de leurs bagages.
Ainsi, en dépit d’un encombrement minimal (d’où son nom), avec en particulier une longueur limitée à 3,05 mètres, la Mini offre une habitabilité surprenante pour une voiture de cette taille. Elle profite aussi de son mode de transmission et de sa compacité pour offrir un agrément de conduite encore inconnu pour une voiture populaire en ce temps-là ; ses sensations de conduite sont assez proches de celles d’un kart. La Mini vire à plat et ses qualités routières séduiront de nombreux pilotes – les Cooper S de course remporteront le rallye de Monte Carlo à trois reprises, en 1964, 1965 et 1967 !
Mais la Mini est avant tout une citadine dont la maniabilité fait merveille dans les rues déjà bien encombrées des métropoles européennes. Après des débuts hésitants sur le plan commercial, le modèle va, dès le début des années 1960, conquérir une large clientèle, aussi bien au Royaume-Uni qu’à l’exportation.
Naissance d’une voiture culte
Lancée par le groupe BMC (British Motor Corporation), constitué en 1952 par la fusion intervenue entre Austin et Morris, la Mini est diffusée sous ces deux marques, mais connaît aussi d’éphémères dérivés luxueux à coffre apparent, les Riley Elf et Wolseley Hornet. Elle s’enrichit également d’une fourgonnette, la Mini Van et, sur la même base, des breaks Austin Countryman – un nom qui sera réutilisé sur les Mini du XXIe siècle – et Morris Traveller.
De 1965 à 1975, la Mini est également construite en Italie, sous licence, par la firme Innocenti. Toutefois, en Angleterre, la décennie 1970 est cruelle pour l’industrie automobile britannique et le groupe British Leyland, constitué en 1968 et qui, outre la Mini, rassemble la quasi-totalité des marques anglaises, est miné par les erreurs stratégiques et les grèves. Dans un contexte de crise économique, la Mini, sobre et peu onéreuse, tire cependant son épingle du jeu, à tel point que son constructeur ne réussira jamais vraiment à la remplacer, la Metro lancée en 1980 ne parvenant pas à supplanter son aînée auprès de la clientèle.
Devenue une sorte d’icône vintage, la Mini devenue trentenaire aborde la fin du XXe siècle sans rien avoir perdu de sa séduction, en dépit de son inconfort notoire et de ses performances dépassées. Toutes les bonnes choses ont une fin néanmoins et, en octobre 2000, la toute dernière Mini classique est produite dans l’usine de Longbridge.
BMW fait renaître la Mini
Cinq ans auparavant, le groupe BMW a pris le contrôle de Rover, alors propriétaire de la marque Mini. La firme bavaroise entreprend alors de concevoir une toute nouvelle Mini, respectueuse de l’identité et de la philosophie du modèle originel, mais en adaptant ses prestations aux attentes d’une nouvelle clientèle, moderne et sophistiquée, souhaitant allier style et plaisir de conduire au volant d’une voiture tout aussi compétente dans la circulation urbaine que sur la route.
Adoptant un design élaboré comme une forme d’hommage à la Mini classique, mais aussi résolument contemporain, la nouvelle Mini rencontre immédiatement un grand succès commercial et s’impose comme la citadine de référence du segment premium. L’auto peut compter sur une large gamme de motorisations, allant jusqu’aux surpuissantes versions John Cooper Works, et sur des possibilités de personnalisation pratiquement infinies, de sorte qu’aucune Mini n’est exactement semblable à une autre.
Au fil des quatre générations qui se sont succédé depuis 2001, la gamme n’a cessé de s’étendre ; au fil des ans, la Mini Hatch a ainsi été rejointe par un break baptisé Clubman, par un SUV, le Countryman, et comporte aussi une version décapotable. Désormais produite aussi bien en Angleterre qu’en Chine, la Mini poursuit vaillamment sa route en se déclinant, depuis 2024, en version électrique !
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Jusqu’alors propriété du groupe Rover, racheté par BMW en 1994, Mini est redevenue une marque à part entière depuis lors et bénéficie de l’expertise ingénieriale de la firme bavaroise, qui en possède toujours le contrôle exclusif.
Concernant les Mini classiques (c’est-à-dire d’avant l’an 2000), les modèles les plus désirables sont les Cooper et Cooper S ainsi que les breaks Countryman et Traveller Si l’on se tourne vers les Mini contemporaines, les Cooper S « John Cooper Works » des générations R56 et F56 sont d’ores et déjà des collectors, de même que la Mini GP présentée en 2020 et forte de 306 ch.
La plus puissante des Mini jamais construites est la série limitée John Cooper Works GP, présentée en 2020 et produite à 3000 exemplaires. Elle disposait d'un quatre-cylindres 2 litres turbocompressé développant 306 chevaux, et pouvait atteindre une vitesse maximale de 265 km/h.
Parmi les Mini classiques, produites jusqu'en 2000, la cote fluctue entre les 3000 € d'une Clubman, reconnaissable à sa proue rallongée au dessin spécifique, et les 34 000 € des premières Cooper S présentées en 1964. Chez les Mini modernes, les rares versions John Cooper Works GP de la génération F56 peuvent dépasser les 50 000 €.
En l'espèce, il existe bien sûr deux cas de figure : soit vous vous intéressez aux Mini classiques (produites de 1959 à 2000), soit vous jetez votre dévolu sur une Mini contemporaine (construite à partir de 2001). Plusieurs des points à vérifier leur sont spécifiques.
En respectant toutes ces précautions, vous vous prémunissez contre les déconvenues éventuelles qui pourraient survenir à la suite d'une décision d'achat trop précipitée.
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