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Sunbeam Alpine et Tiger : l’alternative anglaise
Si vous vous demandiez pourquoi Renault ne disposait pas de la marque Alpine en Angleterre, voici la coupable : depuis 1953, la marque Sunbeam exploite le nom d’Alpine pour sa gamme de cabriolet. Si la première Alpine produite entre 1953 et 1955 était un cabriolet 2 places assez grand et classique, à l’ancienne, la génération suivante qui nous intéresse se distingue par sa compacité. Souvent oubliée lorsque l’on évoque l’automobile britannique des années 60, la Sunbeam Alpine n’en demeure pas moins un choix très intéressant, surtout dans sa version sportive Tiger équipée d’un V8 Ford.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/08/2022
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Alpine A108 : la plus méconnue des Alpine
Quand on parle d’Alpine, c’est quasi systématiquement le nom de la mythique berlinette A110 qui revient aux oreilles. Et, bien que la marque ait produit d’autres modèles notables au gré de sa première vie, les néophytes oublient souvent la première berlinette d’Alpine : l’A108, dans sa version Tour de France.
Maxime Mouliney - 29/07/2022
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Alpine A110 Berlinette : une certaine idée de la France
L’industrie automobile française a produit quelques modèles mythiques depuis l’après-guerre, mais l’Alpine A110 a une place à part dans ce panthéon français. Est-ce dû à sa ligne, à son palmarès sportif, à son image artisanale ou bien aux 3 à la fois ? Une chose est sure, elle a marqué plusieurs générations différentes au point de donner naissance, lors de la renaissance, à une A110 nouvelle génération (lire à ce sujet notre essai). Retour sur l’histoire de cette petite sportive française pas comme les autres.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 29/07/2022
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Alpine A310 4 cylindres : celle qu’on adore détester, à tort !
Ne cherchez plus ! La plus belle voiture des années 70, c’était bien elle ! L’Alpine A310, sortie en 1971, était une merveille de design : un chef d’oeuvre qui sera malheureusement dénaturé avec le passage au V6 en 1976 (lire aussi : Alpine A310 V6). J’ai lu tout et n’importe quoi sur cette voiture : le début du déclin d’Alpine ? Allons, voyons, cette hypothèse ne tient pas à l’examen des chiffres : la Berlinette (1962-1976) s’est vendue à 7176 exemplaires (soit 448 ex par an en moyenne), l’A310 (en 4 et 6 cylindres, 1971-1985) à 11 484 ex (soit 717 ex par an de moyenne) et la V6 Turbo « GTA » (1985-1991, lire aussi : Alpine GTA) à 6494 ex (soit 928 ex par an)… Le vrai déclin intervient en fait avec l’A610 à partir de 1991 (lire aussi : Alpine A610). Alors ? Que reproche-t-on vraiment à cette A310 ?
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 27/07/2022
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Vidéo Alpine A110 1800 Groupe 4 #TAO2019 : berlinette de compétition
Créée en 1955 par Jean Rédélé dans les locaux de son beau-père rue Forest à Paris, la petite marque Alpine va rentrer dans la légende durant les années 60 avec l’A110 désormais fabriquée à Dieppe. Voiture de sport pour la route, diabolique compétitrice en rallye, l’A110 va conquérir le coeur des français jusqu’à gagner le championnat du monde des rallyes en 1973.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 03/06/2019
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Renault 8 Gordini : école de conduite, concentré de nostalgie
La Renault 8 Gordini est une voiture parfaite justement parce qu’elle n’est pas parfaite, et c’est sans doute ce qui a fait sa gloire à l’époque. C’est sans doute ce qui fait aussi sa gloire aujourd’hui et sa cote particulière : prenez une voiture difficile à conduire (avec son sac à dos), obligeant à comprendre les réactions du dit bolide, à conceptualiser la répartition des masses et les trajectoires, un nom un peu légendaire (Amédée Gordini), un moteur et d’autres bricoles un peu préparés, deux bandes blanches en même temps sobres et distinctives, l’absence de réelle concurrence « nationale », un prix relativement faible par rapport à tout ce qui se prétendait vaguement sportif, une coupe « mono-marque » et « mono-modèle » susceptible de faire éclore de nouveau champion (et pourquoi pas vous, d’ailleurs), et une bonne dose de nostalgie aujourd’hui : vous obtenez la Renault 8 Gordini.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 24/08/2018
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Peugeot 504 TN : le mythe argentin du Turismo Nacional
Depuis 1961, il existe en Argentine un championnat automobile particulier, qui passionne les foules, le Turismo Nacional ! Sa philosophie est assez étonnante, et pourtant tellement logique : « tu auto tambien corre » (ce qui, en français, se résume ainsi : ta voiture courre aussi). Et oui, il fallait y penser mais il s’agit là d’un championnat où l’argentin moyen peut s’identifier, ce qui explique sa grande popularité. En outre, les voitures participant à ce championnat doivent être relativement peu modifiée par rapport au véhicule de série permettant l’homologation, entraînant ainsi le lancement de versions sportives sur le marché. C’est ainsi qu’est née la Peugeot 504 TN (pour Turismo Nacional) en 1978.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 09/09/2017
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Pirin-Fiat : l'éphémère marque Bulgare
Aujourd’hui, même en Bulgarie, si vous dites Pirin, on vous parlera de la chaîne montagneuse du Sud-Ouest du pays. Car bien peu de bulgares se souviennent que ce fut aussi le nom d’une éphémère marque automobile dans les années 60, alors que les dirigeants communistes étaient persuadés qu’il suffisait de construire des voitures pour créer un marché, oubliant la pauvreté de sa population et la caractère rural du pays, dont la tradition industrielle était proche du néant.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 21/02/2017
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Opel GT : coupé allemand, succès américain, carrosserie française
A une époque où nos constructeurs français, grands ou petits, peinaient à vendre plus de quelques milliers d’exemplaires de coupés sportifs (Alpine A110, Matra 530), un grand constructeur allemand cassait la baraque en vendant plus de 100 000 exemplaires d’un petit coupé similaire : la fameuse Opel GT, produite entre 1968 et 1973. Heureusement, l’honneur est sauf pour l’industrie tricolore, car la carrosserie de ce coupé était produite… en France !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 13/01/2017
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Alfa Romeo 1900 M AR51 "Matta": le premier 4x4 au trèfle
Lorsque Alpine sortira son SUV, je serai bien en mal de trouver un ancêtre dans l’historique de la marque. Mais lorsque c’est Alfa Romeo qui s’y colle avec son nouveau Stelvio, c’est tout de suite plus facile (même s’il m’a fallu la complicité d’un lecteur pour m’y faire repenser). Et oui, si Alfa Romeo nous a plus fait rêver avec ses berlines sportives, ses cabriolets et ses moteurs enchanteurs, la marque s’est aussi coltiné le marché des utilitaires, des camions, et, brièvement, celui du 4×4. Voici l’histoire de l’Alfa Romeo 1900 M AR51, affectueusement surnommée « Matta » (la folle en rital).
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 17/11/2016
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FASA-Renault : le second constructeur espagnol
L’histoire automobile est parfois étonnante, car si Renault est aussi présent en Espagne aujourd’hui, c’est grâce à un colonel (puis général) d’artillerie de l’armée espagnole, Manuel Gimenez Alfaro y Alaminos. A l’origine, notre officier n’a rien à voir avec l’automobile, mais il est artilleur, c’est à dire ingénieur. Il sera d’ailleurs l’un des fondateurs, à la fin de la guerre civile, du Corps des Ignénieurs de l’Armement et de la Construction. Il sera d’ailleurs professeur à l’Ecole Polytechnique militaire, s’intéressant aux problèmes… d’automobiles. Nous y voilà.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 16/11/2016
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Willys Interlagos : une Alpine au pays de la Samba !
Je vous avais déjà parlé rapidement de quelques Alpine A108 ou A110 fabriquées à l’étranger (lire : Les cousines étrangères de la Berlinette, Dinalpin A110 et Bulgaralpine), il était donc temps pour moi de vous parler plus en détail de la version brésilienne de l’A108, répondant au doux nom de Willys-Overland Interlagos (du nom du fameux circuit brésilien).
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 04/07/2016
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Pegaso Z102/103: cheval ailé contre cheval cabré !
Si l’industrie automobile espagnole se limite à Seat aujourd’hui, elle jouit pourtant d’une histoire intéressante et néanmoins méconnue. Qui se souvient que Hispano-Suiza fut dès l’origine une marque espagnole, que Fasa construisait des Alpine (lire aussi : Les cousines étrangères de la Berlinette), ou que Barreiros, sous l’impulsion de Chrysler, produisit des Dodge, et surtout, que Pegaso, avec ses Z102 et Z103, fit trembler un temps Enzo Ferrari dans les années 50 ?
12/05/2016
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Alpine A106 : la matrice !
Comme l’histoire de l’A106 a déjà été largement évoquées dans le colonnes de Boîtier Rouge, cet article sera court, mais il aura au moins le mérite de réunir en son sein l’ensemble des liens permettant d’y voir clair dans l’histoire d’Alpine et de sa genèse ! Car si j’admire Jean Rédélé pour sa passion, son obstination à créer sa marque, et sa capacité à la faire perdurer, même si pour cela il fallut le soutien de Renault, notamment capitalistique, force est de constater que les débuts de la marque ne lui doivent que son génie commercial !
04/05/2016
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Mécachrome : fleuron berrichon de la Formule 1 !
Lorsque l’on me demande où se situe géographiquement Boîtier Rouge, j’observe toujours avec amusement la tête de mes interlocuteurs lorsque je réponds : « dans le Berry ». La région Centre en général (et le Berry en particulier) n’est pas réputée pour être une région automobile, du moins dans l’imaginaire collectif. Car en vérité, cette région est encore aujourd’hui active dans ce secteur. C’est ce à quoi je pensais en visitant le Musée Matra de Romorantin : si ce fleuron de l’industrie automobile, promoteur/concepteur de l’Espace , de la Renault Avantime, mais aussi du Matra Rancho ou de la Matra Murena, entre autres, a aujourd’hui disparu, il reste encore respectivement à 27 km au Sud et 24 km au nord de Boîtier Rouge deux pépites de l’automobile, Alpine-Signatech à Bourges, et Mécachrome à Aubigny sur Nère.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 22/04/2016
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Grand Garage de la rue Forest : le vrai berceau d'Alpine
J’ai quitté Paris en 2006, pris d’une envie d’air frais et de grand large, et alors que Jean Rédélé, fondateur d’Alpine, était encore de ce monde. Depuis, il nous a quitté (2007), et je me suis aperçu que, peut-être, je l’avais déjà croisé. A cette époque, et depuis le début de ma vie professionnelle (ou presque), j’habitais dans le bas de la rue Caulaincourt, et je promenais mon chien selon deux itinéraires : le dimanche, je profitais de la vie de la rue Lepic et de la rue des Abesses, prenant parfois un verre de blanc avec Michou, ou croisant Didier Bourdon et son cocker, que mon épagneul adorait (amour non réciproque) ; mais les autres jours, je préférais le calme de la rue Forest, de la rue Caron et du passage de Clichy. Nous faisions tous les deux le tour d’un grand parking, dont l’entrée ne payait pas de mine rue Forest mais dont on devinait la taille monumentale en faisant le trajet évoqué plus haut. En passant par derrière, notamment rue Caron, on s’apercevait bien qu’il s’agissait d’un bâtiment gigantesque, édifié à des époques sans doute plus fastes ! Mon chien aimait en tout cas pisser à l’entrée, après m’être acheté des cigarettes au tabac tenu par des chinois quelques mètres avant… Un rituel pour nous deux : si j’avais su !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 12/03/2016
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Renault 4S Mini : la quatrelle inconnue !
Lorsqu’en 1961 sortent les Renault 3 et 4, personne n’aurait imaginé que cette dernière (la 4 hein, pas la 3 qui fit un bide, lire aussi : Renault 3), serait produite jusqu’en 1992 (et vendue jusqu’en 1994) à plus de 8 millions d’exemplaires. Elle eut bien entendu droit à une multitude de versions et de carrosseries (fourgonnette, pick up, voire même voiture de plage avec la JP4, lire aussi : Car Systeme JP4). Mais aviez-vous jamais entendu parler de la Renault 4S, ou 4 Mini ?
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 18/12/2015
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Ford Corcel : presque une Renault 12 !
Ce qui fait plaisir quand on écrit un blog, c’est de voir son audience « statistique » se tranformer en lecteurs de chair et d’os, commentant, participant, et de plus en plus souvent force de proposition. J’avais depuis quelques temps collecté des infos sur la Ford Corcel, mais c’est le commentaire d’Eddy qui m’incite ce matin à vous parler de cette étrange brésilienne aux lignes familières.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 27/08/2015
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Bulgarrenault et Bulgaralpine : les cousines au goût bulgare !
Si l’on connaît plutôt bien l’automobile roumaine, grâce à Aro, Oltcit ou Dacia, on connaît peu l’automobile bulgare. Il faut dire que ce pays, coincé entre la Grèce et la Roumaine, n’aura pas brillé pour son industrie automobile. Mais dans les années 60, à l’instar de son voisin roumain, les autorités bulgares décident de se doter eux aussi d’un constructeur national. Et comme le voisin roumain, c’est vers l’occident que la Bulgarie va se tourner, plutôt que vers un pays « frère ».
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 07/12/2014
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Brasinca 4200 GT : la première GT brésilienne aurait inspiré Jensen
C’est en préparant l’article sur la Jensen Interceptor (lire aussi : Jensen Interceptor) que j’ai redécouvert une petite marque brésilienne méconnue, Brasinca. Cette société avait été créée en 1949 à Sao Caetano, et produisait jusqu’alors des carrosseries de camions ou d’autobus, et devint en 1964 le premier constructeur automobile indépendant brésilien.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 11/11/2014
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Renault 12 Gordini : en avant toute !
« on a tout dans le cœur un morceau de fer à user »… La Renault 12 Gordini quoiqu’un peu anachronique par rapport à la chanson de Voulzy, correspond bien à cette phrase et à l’époque. Une époque où les jeunes se passionnent pour le sport auto, et rêvent de devenir les pilotes de demain, une époque où un sorcier mécanique du nom d’Amédée Gordini rend vivantes de placides berlines, et les peinturlure de bleu à bandes blanches, une époque qui ne voit pas encore la crise qu’elle se prendra pourtant en pleine poire en 1973, comme un coup de semonce après des années de croissance et de plein emploi.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 01/10/2014
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Dinalpin A110 : berlinette et tequila !
Je vous avais déjà parlé brièvement des Alpines produites autour du monde, en Bulgarie, en Espagne, au Brésil ou au Mexique (lire : Les Alpine de l’étranger). Il s’agissait d’un petit panorama, et j’ai décidé aujourd’hui de revenir sur la Dinalpin mexicaine.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 24/07/2014
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Renault Siete/7 : l'inconnue ibérique
C’est à l’occasion d’un périple en stop pour rejoindre Séville et l’exposition universelle de 1992 que j’ai fait la connaissance d’une drôle de Renault. Lorsque j’en croise une pour la première fois à Madrid, je la vois de face et ne remarque rien, jusqu’à ce qu’elle arrive à ma hauteur, et là, surprise : ce que j’avais bêtement pris pour une Renault 5 n’en était pas une. Quelques détails auraient du me mettre la puce à l’oreille : pare-chocs en métal, clignotant sous les phares, l’avant dénote déjà. Mais c’est l’arrière qui n’a rien à voir, avec cette malle disgracieuse, ces feux arrière carrés, et cette signature sous le nom de Renault : Siete.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 13/04/2014
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Fasa, Bulgaralpine, Dinalpin et Interlagos : les cousines étrangères de la Berlinette
Chacun sait que les Alpine étaient fabriquées dans l’usine de Dieppe (Seine Maritime), cette même usine qui fabriquera prochainement les nouvelles Alpine A110. Mais saviez-vous que les berlinettes ne furent pas fabriquées qu’en France ? Outre leur succès à l’exportation, les Alpine eurent droit à des dérivés étrangers approuvés par la marque de Jean Rédélé.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 14/03/2014
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