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Triumph TR4 : Une icône du sport automobile, parfaitement restaurée et prête pour de nouvelles aventures !
La Triumph TR4, voiture de sport britannique produite par la Standard-Triumph Company, fit son entrée sur la scène automobile en 1961. Ce modèle emblématique, d’abord conçu sous le nom de prototype « Zest », reprenait le châssis et les trains roulants des précédentes TR, tout en s’offrant un style moderne et audacieux signé par l’illustre designer italien Giovanni Michelotti.
CARJAGER - 04/11/2024
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Triumph Spitfire 1500 FH 1978 : L’ultime icône des années 70 restaurée
Vous rêvez d’une Triumph Spitfire 1500 FH ? Votre rêve pourrait bien devenir réalité ! Découvrez tous les détails de cette auto proposée aux enchères sur CarJager.
21/10/2024
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Triumph GT6 MKI : l’esprit des années 60 en mouvement
Vous rêvez d’une Triumph GT6 MK1 ? Votre rêve pourrait bien devenir réalité ! Découvrez tous les détails de cette voiture mythique proposée aux enchères sur CarJager.
Vladimir GRUDZINSKI - 24/09/2024
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Triumph GT6 : La Spitfire en plus méchante
Depuis 1962, le swinging London s’éclate avec un petit roadster de chez Triumph dont le nom résonne de la gloire de la bataille d’Angleterre, le Spitfire. Malgré son nom guerrier, la Triumph Spitfire reste un jouet économique, rigolo, simple à entretenir, un vrai truc de jeune. Pourtant, il existe une certaine clientèle exigeant plus de watts et un vrai toit, bref plus de sportivité. Aussi, en 1966, Triumph présente sa GT6, une Spitfire fastback dont le 6 cylindres en ligne propose noblesse moteur et chevaux sous le capot.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 16/01/2023
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Triumph Spitfire : l’autre symbole anglais
Il est rare qu’un avion et une voiture deviennent, sous le même nom, aussi célèbres l’un que l’autre, à plus de vingt années d’écart. Et pourtant, l’un comme l’autre devinrent les symboles de leur époque, sombre pour le Supermarine Spitfire et joyeuse pour la Triumph Spitfire. Car si l’avion britannique connut son heure de gloire au moment de la bataille d’Angleterre, le petit roadster anglais, lui, rencontra le succès au cœur du Swinging London, de la liesse des sixties, les Beatles à tue-tête. Deux destins bien différents ! LA Spitfire faisait référence à son aîné, s’emparait du symbole, pour le détourner d’une bien autre manière et marquer l’industrie automobile des années 60, comme LE Spitfire marqua l’industrie aéronautique des années 40.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 10/08/2022
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Triumph TR7 : la « sports car » britannique des années 70 !
L’histoire des marques et des modèles britanniques est souvent un peu compliquée alors même qu’elles étaient quasiment toutes regroupées au sein d’un même groupe dans les années 70 : British Leyland Motor Corporation (BLMC), sorte de fourre-tout automobile comprenant Mini, Austin-Morris, MG, Jaguar, Land Rover ou Triumph, et qui deviendra, après délestage ou disparition de marques le groupe MG Rover.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 28/07/2022
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Triumph Acclaim : une heure dans la Triumph à Clém
Au début des années 1980, l’état de l’industrie automobile britannique généraliste n’incitait pas à la rigolade. Modèles dépassés et/ou mal conçus, fiabilité déficiente, conflits sociaux à répétition et stratégie globale farfelue — la liste des déboires de la British Leyland était à peu près aussi longue et déprimante qu’un discours de Fidel Castro. Dans ce lugubre contexte, les moyens commençaient sérieusement à manquer, à tel point que les Anglais se virent contraints d’aller frapper à la porte des Japonais pour développer plusieurs de leurs modèles. C’est ainsi que, dans la grisaille de l’automne 1981, la résurrection de Triumph ne concerna hélas pas le lancement d’un nouveau roadster destiné à remplacer le duo TR7 / TR8 mais, bien plus prosaïquement, le recyclage d’une berline Honda, rebaptisée Acclaim pour l’occasion, sans que l’on sache ce que cette dénomination (acclamer en français) devait à l’ironie ou à l’énergie du désespoir. Toutefois, l’air de rien, et en dépit de son inconsistance, il s’agit là d’un modèle historique qui fut suivi, pour le meilleur ou pour le pire, d’une longue série de bricolages plus ou moins hâtifs et qui, pour la plupart d’entre eux, ressemblaient autant à une voiture anglaise que Michèle Torr à Janis Joplin. Il nous a paru important de revenir, quelques lignes durant, sur une auto qui transportait avec elle tous les ingrédients du poison qui allait achever l’œuvre de destruction qu’avaient commencé, au cours de la décennie 70, les patrons et les syndicalistes de BL, pour une fois unis dans la même tragique incompétence. Dans le récit qui suit, et qui est possiblement fictif, toute ressemblance avec des personnages existants est joyeusement volontaire…
Nicolas Fourny - 27/10/2020
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Triumph TR2 : et le roadster triomphe !
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, Triumph est, à l’instar de l’Europe, en ruine. Récupérée par la Standard Motor Company, la marque va maladroitement tenter de faire son trou avant de lancer son génial concept de roadster bien british : la TR2. Ainsi naquit une longue saga qui donna finalement une âme bien particulière à l’une des nombreuses marques de Coventry.
Aurélien Charle - 13/10/2020
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Triumph TR3 : filer, cheveux au vent, à l’anglaise !
Avec sa TR2, Triumph fit une entrée remarquée dans le monde des roadsters à l’anglaise. En lançant la TR3, Triumph pérennise sa position sur le marché et affirme sa propre identité. Ce modèle fut le plus emblématique d’une saga qui dura plusieurs décennies en incarnant l’art de vivre du gentleman turbulent. Une aura qui s’exporta dans le monde entier, principalement aux États-Unis.
Aurélien Charle - 02/10/2020
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Triumph TR8 : et le rideau sur l’écran est tombé
Tout le monde connaît la TR7, sa ligne en coin, ses pop-up lights, sa (relative) sous-motorisation et son destin contrarié. En revanche, son dérivé à huit cylindres demeure méconnu de beaucoup d’amateurs, aujourd’hui encore. Et pourtant, il s’agit là d’une auto digne d’intérêt, à de multiples égards : la dernière Triumph à moteur V8 peut en effet revêtir plusieurs identités, selon votre attirance pour les machines paradoxales, votre propension à la mélancolie ou votre culture du regret : une occasion manquée, un chant du cygne ou, du point de vue du collectionneur du XXIème siècle, la joie exquise de découvrir puis, peut-être, de conduire une auto rare et maudite, prématurément assassinée par la tragique incompétence de ceux qui ont mené au tombeau la quasi-totalité de l’industrie automobile britannique. À cette aune, la TR8 est tout à la fois une attachante sports car, une intéressante opportunité et un accablant témoignage. Voici pourquoi…
Nicolas Fourny - 20/09/2020
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La Triumph TR6, les Allemands et les cerisiers en fleurs
Quelle a été la dernière véritable Triumph ? La TR7 ? La TR8 ? L’Acclaim ? (Non, je rigole). À la vérité, pour bon nombre d’amateurs, c’est la TR6, et elle seule, qui mérite ce titre. Cela peut bien sûr se discuter mais il est vrai que l’auto ressemble beaucoup à la conclusion d’une très belle histoire, aux derniers feux d’une aventure saccagée par l’incompétence, la médiocrité et l’absence de vision des dirigeants de la British Leyland. Déjà esthétiquement abâtardie aux yeux de certains amateurs, la TR6, avec sa carrosserie hétéroclite, son straight six rustique et son concept immuable, exhalait de lourds remugles de fin de race. C’était plus qu’une voiture, c’était un avertissement sans frais (ou presque) : lorsque sa fabrication s’arrêta, rien ne fut jamais plus comme avant…
Nicolas Fourny - 24/08/2020
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Triumph Herald et Vitesse : triomphe de la diversification
Dès que l’on parle d’une Triumph, on a tendance à penser à ces charmants cabriolets commençant par les deux lettres TR en oubliant parfois que la marque de Coventry produisit des berlines ou des coach à l’allure moins sportive mais rencontrant un certain succès à partir des années 60. La dernière Triumph fabriquée sera d’ailleurs une berline, l’Acclaim (une Honda à peine déguisée) au début des années 80. L’un des modèles phares des années 60 sera donc la petite Triumph Herald, déclinée en coach 2 portes, break 3 portes, coupé, cabriolet et même une version plus huppée dotée d’un 6 cylindres, la Vitesse.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 13/08/2019
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La Triumph TR4 A IRS de Gilles : madeleine de Proust
Comme beaucoup de jeunes garçons dans les années 60, Gilles est tombé sous le charme de la Triumph TR4. Arrivé à l’âge adulte, il s’est mis en quête de sa madeleine de Proust, dans sa version IRS. Il nous raconte sa passion pour le modèle et comment il a pu, enfin, s’offrir son rêve de gosse :
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 11/03/2019
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Triumph TR3A : destination USA
Dans les années 50, l’industrie automobile anglaise institutionnalisa le roadster à l’anglaise. Pendant plus de 20 ans, Triumph, MG ou bien Austin Healey feront le bonheur des amateurs de vitesse cheveux au vent et « cul au sol ». Une tradition qui tombera en désuétude au début des années 80 avec la dernière TR7 (lire aussi : Triumph TR7). La mode semblait être passée, et l’industrie automobile britannique en difficulté tenta surtout de survivre. Le créneau n’était pourtant pas épuisé, et c’est un japonais, Mazda, qui ressuscita le concept en 1989 avec la fameuse MX5 (lire aussi : Mazda MX5). Parmi les roadsters anglais qui comptèrent dans cette période de gloire (des 50’s aux 70’s), on trouve la TR3, et particulèrement la TR3A partie avec succès à la conquête de l’Amérique.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 03/08/2018
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Triumph Toledo : Low cost à l'anglaise
Chacun connaît la Seat Toledo, à tel point qu’on finissait par penser qu’elle était la seule à porter le nom de cette célèbre ville espagnole. Pourtant, dans les années 70, une autre voiture porta ce patronyme. Il ne s’agissait pas d’une espagnole, mais d’une anglaise. La Triumph Toledo, née en 1970, n’aura pas marqué les esprits malgré plus de 100 000 exemplaires produits, et l’on se souvient mieux aujourd’hui de sa grande sœur Dolomite (lire aussi : Triumph Dolomite). Si la Toledo n’était pas techniquement révolutionnaire (loin s’en faut), elle inaugurait pourtant une formule qui fera fureur au 21ème siècle : le low cost.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 22/06/2018
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BMW a-t-il délibérément tué Rover ?
Je sais bien qu’il s’agit d’une question iconoclaste, mais plus je m’intéresse à l’histoire de Rover dans les années 90 et 2000, plus je me pose sérieusement la question. L’opinion la plus courante reste évidemment que BMW a tenté de grossir en rachetant Rover (Rover, MG, Triumph, Mini, Land-Rover), puis devant l’ampleur de la tâche renoncé et revendu ce qui pouvait l’être, perdant (soi-disant) de l’argent au passage. Mais on peut aussi prendre le problème à l’envers : et si BMW avait tout simplement tué un concurrent tout en s’arrogeant les morceaux les plus intéressants pour son propre développement ?
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 18/11/2017
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Triumph Dolomite: berline de charme à l'anglaise
Dans l’imaginaire d’aujourd’hui, les Triumph sont de petits roadsters, « so british », un poil sportives et bien dessinées (la lignée des TR). Les plus pointus se rappelleront de la Stag et de sa drôle de ligne (lire aussi : Triumph Stag), de la Herald, ou de la Dolomite Sprint. Beaucoup auront en tout cas oublié que la Dolomite, justement, n’était pas qu’une version sportive, mais bel et bien une gamme d’automobiles populaires.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 21/01/2017
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Swallow Doretti : l'unique marque créée par une femme (et tuée par les hommes).
Qui a dit que l’automobile n’était qu’une affaire d’homme ? Ce n’était pas l’avis de Dorothy Deen, cette anglaise bon teint, éprise de mécanique et de belles autos… et certainement la seule créatrice d’une marque automobile.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 13/09/2014
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Triumph Stag : une anglaise méconnue
Soyons clair, j’aime cette voiture. Sans doute parce qu’elle est mal-aimée, j’ai tendance à me laisser apitoyer. Elle a un drôle de look, semble hésiter (cabriolet ? Targa ? Coupé avec son hard top), porte un nom prestigieux (Triumph), un prénom énigmatique (Stag en anglais veut dire cerf, quelle idée!!!) et pour tout dire connût le sort des bagnoles poissardes.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 10/07/2014
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Royal Enfield : l'iconique moto indienne !
J’ai un fâcheux défaut : tout ce qui roule m’intéresse (mais aussi ce qui vole tiens ! Et puis plein d’autres choses en fait!). Aussi je ne mets pas de limites dans les sujets à traiter. Certains l’ont remarqué puisqu’il m’est arrivé de parler d’autobus, et bien entendu de motos. Ma culture moto laisse à désirer mais quand j’entends parler d’une marque anglaise, devenue indienne (tiens ? Ça me rappelle Jaguar-Land Rover), et qui produit des motos au look suranné (tiens ? Ça me rappelle Morgan), tout de suite ça m’intéresse.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 02/07/2014
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