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« C’est l’occasion pour l’AX de prouver sa robustesse et de contrer, en creux, les accusations de soi-disant fragilité »

1986 ! Allez savoir pourquoi je garde en mémoire cette année-là. Sans doute parce que c’était l’année de ma 6ème, un grand changement pour un petit garçon. Nous avions aussi déménagé passant de Maubert-Mutualité à Odéon, et je peux vous garantir que le boulevard St Michel est une vraie frontière, surtout quand on est petit. Toujours est-il que c’est en 1986 qu’était révélée au public français une nouvelle petite Citroën « révolutionnaire » (en tout cas c’est ce qu’en disait Jacques Séguéla qui n’hésita pas à la faire rouler sur la muraille de Chine), l’AX.

Allez, je suis sur ma lancée, j’ai envie d’écrire, mais pas trop non plus. Mon petit « retour de pêche » de fin d’après midi, lorsque j’ai l’impression d’avoir bien fait mon travail (écrire des articles, gérer le site et la maintenance, répondre aux multiples sollicitations et aux uns et aux autres sur Facebook ou sur le site)…. Il me reste parfois un peu d’énergie, pas suffisamment pour faire un article de 10 000 signes, mais assez pour pondre un truc marrant, rapide et léger. Et quoi de plus marrant, et léger (rapide uniquement dans ses versions les plus sportives) que la Citroën AX ?

Le Salon de Paris 1994 fut vraiment un salon particulier pour moi. Cette année-là, on sentait vraiment frémir un renouveau automobile, particulièrement chez les français, grands constructeurs ou petits artisans. Chez Heuliez, ce fut un festival. Outre la présentation de la Renault Safrane Biturbo Long Cours, on eut droit sur le stand de l’industriel picto-charentais à une charmante version cabriolet de la Citroën ZX, dénommée Vent d’Ouest.

Difficile de croire qu’une Citroën AX puisse être une vraie rareté. Et pourtant, il en existe une particulièrement difficile à dénicher, tellement même qu’en trouver une image de qualité sur le net m’a pris quelques temps. Cette AX particulière, c’est l’AX BB Cabrio GT