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Peugeot 504 coupé et cabriolet : la nostalgie n'est plus ce qu'elle était
« Tout comme la berline 504 correspondait à une rupture stylistique très nette avec sa devancière, les deux variantes présentées au Salon de Genève de 1969 s’éloignaient radicalement du style déjà daté des 404 commercialisées huit ans auparavant »
Nicolas Fourny - 02/03/2023
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Ferrari 250 GT/L : la beauté d’un crépuscule
Chez Ferrari, 250 fait quasiment figure de nombre magique. On le retrouve sur une grande diversité de modèles, de la GTO aux cabriolets California, des berlinettes de compétition aux coupés « familiaux » dédiés au grand tourisme. Et, au cœur de cette famille aux multiples ramifications, la GT/L — présentée pour la première fois au Salon de Paris 1962 sous la forme d’un prototype très proche de la série — occupe une place à part, en raison d’une identité astucieusement métissée entre sportivité et… luxe (comme l’indique son patronyme). Dernière représentante de la lignée des V12 3 litres, elle ressemble cependant plus à une préface qu’à un épilogue, en ce qu’elle défriche et annonce les chemins que la firme de Maranello entend désormais suivre — et c’est l’une des multiples raisons de s’intéresser à son destin, aussi fugitif que déterminant.
Nicolas Fourny - 29/06/2020
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Fiat 130 Opéra : la berline refusée de Pininfarina
Lorsque le Coupé Fiat 130 fit son apparition en 1971, il ringardisait d’un seul coup la berline dont il dérivait, pourtant commercialisée depuis à peine deux ans. Là où la 130 faisait dans le classique un brin baroque, le Coupé, habilement dessiné par Pininfarina, s’offrait une ligne moderne, simple et efficace : un des plus beaux dessins de la décennie ! Devant l’insuccès du « flagship » turinois, Pininfarina sentit qu’il y avait un coup à jouer et proposa à Fiat, en 1974, une nouvelle berline, dérivée du coupé 130 : la Fiat 130 Opera.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 31/01/2018
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Ferrari 365/400/412 : divine diva !
On pourrait croire que si je ne parle pas d’une voiture, c’est qu’elle ne me plaît pas. Il n’en est rien. Parfois, il s’agit juste d’un refus d’obstacle, devant l’ampleur de la tâche, ou de la stature iconique de la belle ! C’est le cas du trio de Ferrari 365/400/412 qui fait sans doute partie de mon panthéon automobile. J’adore le style de cette bagnole, j’adore sa philosophie, et surtout, j’aime son décalage dans la gamme Ferrari. D’ailleurs, vous aurez remarqué mon affection certaines pour les Ferrari 4 places, comme la 456 GT (lire aussi : Ferrari 456 GT) ou même la Mondial (lire aussi : Ferrari Mondial), sans parler de la sublime 308 GT4 (lire aussi : Ferrari-Dino 308 GT4).
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 07/03/2016
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Bentley T1 Coupé Special Pininfarina: les prémices de la Camargue !
En écrivant l’article sur la Rolls Royce Camargue, je m’étais demandé quelle mouche avait donc piqué Rolls pour accepter un tel projet (lire aussi : Rolls Royce Camargue). En fouillant un peu plus, je m’étais rendu compte qu’il se s’agissait pas du premier méfait du carrossier italien sur une anglaise. Il s’était en effet déjà fait la main sur une Bentley T1, devenant « Coupé Special » pour l’occasion.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 12/08/2015
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Ferrari 365 GT 2+2 : Grand tourisme au son du V12 !
Etant né en 1975, les Ferrari qui m’ont le plus marqué sont celles de mon enfances et de mon adolescences, et particulièrement celles des années 80 : les 308 puis 328, la Mondial, la 512 puis la Testarossa, les 400 et 412 (lire aussi : Ferrari 365/400/412). Adolescent, j’ai rêvé de la 348 et surtout de la 456 GT (lire aussi : Ferrari 456 GT), dernière Ferrari à m’avoir conquis. Allez savoir pourquoi, car tout cela est très subjectif, j’ai peu à peu trouvé que les œuvres de Maranello perdaient en charme et en beauté pour devenir ce qu’elles sont aujourd’hui : des machines super efficaces mais, à mon sens, sans âme. Alors j’ai commencé à m’intéresser aux Ferrari d’avant ma naissance, plus rondes et plus sensuelles, plus attirantes et plus fascinantes que celles actuelles, au design dicté par une soufflerie.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 17/12/2014
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Peugeot 404 Cabriolet : le parfait compromis ?
Malgré l’échec commercial de la 403 Cabriolet (lire aussi : Peugeot 403), Peugeot fera preuve de persévérance. Lorsque la marque sochalienne présente en 1960 sa nouvelle berline, la 404, elle a déjà en tête deux dérivés aux ambitions élitistes : le coupé et le cabriolet. Il faut dire que le dessin de la 404, œuvre de Pininfarina, se prête assez bien à l’exercice.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 17/12/2014
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Autobianchi A112 Giovani : tête au carré
Ce qu’il y a d’amusant avec l’automobile, c’est que le sujet semble infini. A chaque article, je me sens l’âme d’un généalogiste. Partant sur une idée, une piste, on rebondit sur d’autres, et je prends des notes à chaque recherche, sachant qu’il va falloir m’attaquer à une nouvelle branche de la famille, ou m’intéresser à une famille concurrente… J’aime ces rebondissements, et c’est d’ailleurs pour cela que je prends plaisir à écrire sur ce blog. J’ai des idées, un programme d’article, et puis tout est chamboulé parce qu’un modèle me fait de l’oeil, parce que j’ai lu quelque chose…
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 07/10/2014
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Peugeot 504 Coupé : l'italienne de Sochaux.
Si vous lisez ce blog depuis le début, vous aurez remarqué assez facilement mes influences. Mes souvenirs d’enfance ont largement contribué à façonner mes goûts automobiles. Pour ne rien vous cacher, j’aimais la 504, la trouvant statutaire , élégante et si française (lire aussi : Peugeot 504). Mais lorsque je découvris pour la première fois sa version coupé (je ne vous parle même pas de ma première rencontre avec le cabriolet), j’en tombais aussitôt amoureux, malgré ses origines italiennes.
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 26/03/2014
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