
Renault-Oyak 12 Toros: la cousine anatolienne !
Aujourd’hui, la Renault 12 garde encore une image un peu ringarde malgré la cote toujours plus haute de son dérivé sportif Gordini. Elle porte encore en elle une tache indélébile pour les amateurs de sport automobile : elle condamnait la R8 (et son dérivé sportif Gordini), si amusante à conduire avec son moteur à l’arrière. Car la 12 n’est qu’une vulgaire traction (ce qui à l’époque était pourtant la voie de la modernité). En outre, elle proposait un physique bien sage, tri-corps, sans véritable charme ni audace stylistique : une voiture passe-partout quoi !
PAUL CLÉMENT-COLLIN - 21/09/2015