
Quand on aime, on ne compte pas… - Lamborghini SVJ Roadster
La Lamborghini Aventador SVJ Roadster incarne l’extrême : V12 atmosphérique de 770 ch, aérodynamique active ALA 2.0 et sensations uniques à ciel ouvert. Pour Mohand, quelques kilomètres d’essai ont suffi pour faire de cette supercar rare une évidence. Grâce à l’accompagnement CarJager, il concrétise l’achat d’une SVJ devenue le symbole de sa passion automobile.
Dans le cas de Mohand, il n’y a pas eu de longue réflexion ni de projet mûri pendant des années. La rencontre avec la Lamborghini Aventador SVJ Roadster, l’un des modèles les plus extrêmes de Sant’Agata Bolognese, s’est imposée comme une évidence : quelques kilomètres d’essai ont suffi pour transformer une curiosité en décision d’achat.
Un passionné depuis l’enfance
Mohand a grandi avec l’automobile comme d’autres avec le football ou la musique : elle a toujours fait partie du décor « Depuis tout petit, je voulais comprendre comment une voiture avance », explique-t-il. Son intérêt pour la mécanique l’oriente d’abord vers une formation d’ingénieur, avec en toile de fond un rêve de sport automobile, vite rattrapé par la réalité des coûts. Il bifurque alors vers le BTP de luxe, un secteur plus stable et rémunérateur. Mais un élément ne change pas : l’essentiel de ce qu’il gagne passe dans l’automobile.
Son historique de voitures en dit davantage sur son rapport à la performance que n’importe quel discours : BMW M3 et M4 pour le côté polyvalent, Porsche 991 Carrera 4S puis 991.2 GT3 RS pour la piste, Mercedes-AMG GT, Ferrari 458 et 488, McLaren 600LT, Audi R8 Spyder, jusqu’à une Lamborghini Murciélago. Autant de modèles qui dessinent le profil d’un passionné qui structure ses choix de carrière et de vie autour de la possibilité de rouler en supercars et GT de caractère.


Pourquoi une Aventador SVJ Roadster ?
Au départ, Mohand n’est pas particulièrement attiré par l’Aventador, trop voyante, trop massive, dit-il. À une nuance près : les versions les plus radicales, SV et surtout SVJ, qu’il place dans une autre catégorie. Lorsqu’il commence à réfléchir sérieusement à un V12 atmosphérique, trois options se détachent : Ferrari 812 Superfast, 812 GTS ou Lamborghini Aventador SVJ Roadster. Trois autos au sommet de la production actuelle, mais avec des tempéraments différents. La Ferrari coche la case de la GT ultra performante, utilisable et raffinée ; la Lamborghini, celle d’une auto plus extrême, bruyante, presque théâtrale.
Élaborée en série limitée, la SVJ Roadster s’impose comme un modèle recherché, autant pour son exclusivité que pour son tempérament. Dévoilée en 2018, l’Aventador SVJ Roadster appartient à la dernière génération de Lamborghini animées par un V12 “à l’ancienne” : un 6,5 litres atmosphérique qui prend plus de 8 000 tr/min. Avec un 0 à 100 km/h annoncé en 2,8 s, plus de 350 km/h en vitesse de pointe et un système d’aérodynamique active ALA 2.0 chargé d’ajuster l’appui en temps réel, elle illustre la phase la plus aboutie du V12 thermique chez Lamborghini, juste avant le tournant de l’hybridation.
L’autre secret de cette machine, c’est son aérodynamique active ALA 2.0, qui ajuste en permanence l’appui pour rendre la voiture étonnamment précise malgré son gabarit intimidant. Et une fois le toit retiré, tout change : la brutalité de la boîte ISR, le hurlement du V12 qui envahit l’habitacle, la voiture devient une expérience sensorielle totale.

C’est au cours d’un week-end que la décision se cristallise. John, son conseiller CarJager, est présent tout comme Monsieur Richard, client fidèle, venu avec sa propre Aventador SVJ Roadster. Mohand essaie la voiture. À la descente, il lâche simplement : « Il me la faut ». L’essai a joué le rôle de déclencheur : jusque-là, la SVJ lui plaisait sur le papier, à partir de ce moment, elle devient une évidence, malgré le niveau d’engagement financier.
Mohand assume ce fonctionnement à l’instinct : il tranche vite quand la voiture lui parle. S’il ne devait garder qu’une seule auto parmi sa Murciélago, son Aventador SVJ ou sa McLaren, il choisirait la SVJ sans hésiter. Prochain chantier déjà prévu : une ligne d’échappement plus radicale, pour accentuer encore la signature sonore du V12. Car pour lui, l’émotion ne se résume pas aux performances, elle passe aussi et surtout par ce que la voiture fait ressentir à chaque mise en route.

Une relation de confiance
Mohand n’est pas du genre à se laisser impressionner. Il a déjà acheté beaucoup de voitures et connaît les vendeurs qui jugent sur l’apparence. Avec John, c’était différent « Beaucoup m’ont pris pour un touriste. John, lui, m’a tout de suite respecté. Il a été transparent, correct, honnête, les photos étaient conformes… même mieux que ce que j’imaginais ». C’est ainsi qu’il a découvert CarJager : d’abord pour une McLaren 600LT, puis pour tout le reste. « Une histoire d’amour avant tout », résume-t-il avec humour.
Difficile pour lui d’effacer ce souvenir. John arrive avec la voiture, Mohand s’installe à bord, démarre le V12 et part pour une première sortie. Il raconte avoir passé une vingtaine de minutes « avec les larmes aux yeux », partagé entre le bruit, la brutalité des accélérations et la sensation d’avoir concrétisé un rêve longtemps repoussé. La suite est moins idéale : deux jours plus tard, il perd son permis de conduire. « Je ne pouvais même plus la rouler ! » sourit-il. Un épisode frustrant, mais qui n’entame pas le lien qu’il a développé avec la voiture. Pour lui, cette SVJ reste avant tout le symbole d’un aboutissement personnel plus qu’un simple objet de collection.

Vivre avec une SVJ Roadster
Ce qui le marque d’abord, c’est le moteur : un V12 au caractère à la fois noble et brutal, dont il souligne le timbre unique. Vient ensuite la ligne, qu’il décrit sans détour « La gueule de la bagnole… hors du commun ».
Au-delà des sensations, il observe aussi l’effet social de l’auto : « Les gens me prennent pour une superstar », constate-t-il, presque surpris de la réaction qu’elle provoque dans la rue. Mohand utilise sa SVJ comme une vraie voiture de passionné : rallyes, road trips, quelques sessions de circuit, mais aussi des arrivées très visibles devant les grands hôtels parisiens, à la manière des propriétaires américains. Pour lui, l’Aventador SVJ Roadster transforme chaque déplacement en mise en scène, et c’est précisément ce qu’il en attend.
Et maintenant ?
Son rêve ultime ? Une Pagani Zonda R. Une auto pensée avant tout pour le circuit, produite en quantité infime, devenue symbole d’un artisanat extrême. « Pagani, c’est un autre monde. Même Koenigsegg ou Bugatti ne peuvent s’asseoir à sa table, c'est un style et une image qu’aucune autre supercar ne peut reproduire ».

Avec son Aventador SVJ Roadster, il a déjà coché une case majeure dans sa trajectoire de passionné. De notre côté chez CarJager, nous sommes fiers d’avoir accompagné ce projet, de la recherche de l’auto à sa livraison.
On lui souhaite maintenant de longues heures de conduite, des road trips qui s’ajouteront à son histoire avec cette SVJ… et, pourquoi pas, un jour, une nouvelle quête autour d’une certaine Zonda R.







