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Que vous soyez tenté par une Bora, une Biturbo ou une plus contemporaine MC20, les Car Specialists de CarJager sauront trouver la Maserati de vos rêves !
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Maserati 4200 GT
Basée sur la 3200 GT de 1998, la 4200 apparaît quatre ans plus tard. Principale évolution : l'auto troque le V8 Maserati suralimenté contre un V8 Ferrari atmosphérique.
Maserati MC20
Lancée en 2020, la MC20 est une berlinette à moteur central. Son V6, baptisé Nettuno, est inédit ; ses 630 chevaux peuvent emmener l'auto à 325 km/h. La MC20 existe en version découvrable, baptisée Cielo.
Maserati Biturbo
Maserati adapte son offre à partir de 1981 avec l’apparition de la Biturbo, petite GT à moteur avant et aux lignes classiques. Dotée d’un très performant V6 suralimenté, l’auto va constituer, dix-sept années durant, la base de la quasi-totalité du catalogue de la firme.
MASERATI de collection
Maserati de collectionHistoire de la marque Maserati
Maserati, la doyenne des Italiennes de légende
Fondée en 1914 à Bologne par les cinq frères Maserati, la firme éponyme voit le jour en tant que manufacturier de voitures de courses pour le compte de la firme Diatto. Ce n’est toutefois qu’à partir de 1926 que Maserati devient un constructeur à part entière, dédiant l’entièreté de son activité à la course, affrontant notamment Mercedes-Benz et Auto Union dans les épreuves majeures de l’entre-deux-guerres. La famille Maserati cède le contrôle de l’affaire à la famille Orsi dès 1937 – c’est à ce moment que l’entreprise s’établit à Modène, où son siège social demeure encore de nos jours – mais les frères Maserati vont cependant poursuivre leur collaboration avec la firme pendant les dix années qui vont suivre.
Après la guerre, tout en maintenant sa présence en compétition, Maserati se lance dans la conception et la fabrication de voitures de route, orientées vers le sport et le grand tourisme. De la sorte, la glorieuse série des A6 va constituer le premier pas vers la mutation de la firme vers l’identité qui est encore la sienne aujourd’hui : Maserati devient peu à peu un constructeur de coupés et de cabriolets de grand tourisme, stoppant toute activité directe en course à partir de 1957. Cette même année, la 3500 GT extirpe la marque d’une certaine confidentialité et lui confère une réputation désormais digne de Ferrari, Aston Martin ou Jaguar.
De l'artisanat à la (petite) série
Construite à plus de 2200 exemplaires en sept ans de carrière, la 3500 GT, proposée aussi bien en coupé qu’en cabriolet et animée, comme ses devancières, par un moteur 6-cylindres issu de la course, va transformer le statut de Maserati, jusqu’alors vouée à une certaine forme d’artisanat mais qui change alors de dimension – même si la très confidentielle 5000 GT perpétue la tradition des automobiles de grand prestige, réalisées « à façon » et assemblées en série très limitée. Pour sa part, la 3500 GT va se confronter aux Aston Martin DB4 et aux Ferrari 250 GT avant de céder la place à un catalogue toujours plus étendu.
Ainsi, au mitan des années 1960, la Sebring, la Mistral et la berline Quattroporte, toutes deux dessinées par Pietro Frua, s’efforcent de séduire une clientèle exigeante en rivalisant avec les meilleures réalisations européennes en matière de luxe et de performance. Mais le meilleur reste encore à venir : en 1966, Maserati frappe un grand coup en lançant la Ghibli, somptueuse GT biplace à moteur V8, dessinée par Giorgetto Giugiaro pour le compte de Ghia. Raffinée, luxueuse et d’une élégance absolue, l’auto se caractérise aussi par sa modernité en annonçant déjà le style des années 70. Pourtant, la fin de la décennie sera synonyme de changements majeurs pour Maserati.
Déboires et renaissance de Maserati
Rachetée par Citroën en 1968, la firme collabore à la conception du coupé SM avant de lancer, en 1971, la Bora – première Maserati à moteur central, une fois encore due au talent de Giugiaro. Mais en 1975, Citroën, en grandes difficultés financières, cède à son tour l’entreprise à Alejandro de Tomaso, qui va assurer sa pérennité en lançant plusieurs nouveautés, telles la Quattroporte de troisième génération, avant d’imposer une évolution majeure avec la création, en 1981, de la Biturbo. Cette petite GT quatre places à moteur V6 situé à l’avant constituera l’ossature de la gamme jusqu’à la fin des années 90 et permettra à Maserati d’augmenter significativement ses volumes de production, en attirant une clientèle nouvelle qui, auparavant, se tournait plus volontiers vers BMW.
Après avoir multiplié les variantes de la Biturbo, De Tomaso revend Maserati en 1993 au groupe Fiat, qui opère une nouvelle montée en gamme avec le lancement, en 1998, de la 3200 GT – remotorisée ensuite par un V8 d’origine Ferrari –, puis d’une nouvelle Quattroporte dessinée par Pininfarina. Intégrée depuis 2021 au groupe Stellantis, issu de la fusion opérée entre Fiat Chrysler Automobiles et PSA Peugeot Citroën, Maserati dispose aujourd’hui d’un catalogue diversifié, comportant une berlinette à moteur central, la MC20, une GT à moteur avant déclinée en coupé et en cabriolet, et un SUV, le Grecale. Ces deux derniers modèles sont disponibles en version électrique, ce qui autorise Maserati à envisager sereinement l’avenir !
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Maserati Granturismo S
Travail de pro : pragmatique et réactif. Une prise en charge efficace avec un encadrement militaire. Je recommande pleinement. Merci.
Mr Dan V.il y a 10 mois
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L’évocation de l’implantation de moteurs américains sur des grand tourisme luxueuses conduit inexorablement, en France, à celle des Facel Vega, pourtant moins modernes avec leur essieu arrière rigide face aux Italiennes Iso Grifo Lusso dotées d’un pont De Dion et d’une barre Panhard à l’arrière. L’univers de l’automobile luxueuse des années 60 ne recourait pas à d’hypothétiques résurrections de marques défuntes. Certes, de grands noms étaient passés ad patres, mais d’autres cherchaient leur place au soleil, Iso Rivolta, Lamborghini, De Tomaso, Bizzarini, Monteverdi entre autres, en face des installées quoique vulnérables Ferrari, Maserati, pour n’en rester qu’à l’univers italien. L’Iso Grifo Lusso de 1966 s’inscrit dans ce temps suspendu courant de la première moitié des années 60 au mitan des années 70, où le champ des possibles de l’automobile promettait des Éden que la rationalité industrielle et économique savait inaccessibles. Il en reste des pépites. L’Iso Grifo Lusso n’est pas des moindres.
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Youngtimers
F.A.Q. Questions courantes avant d'acheter une Maserati
Quels sont les modèles les plus emblématiques de Maserati ?
Petite firme artisanale essentiellement tournée vers la compétition avant la guerre, Maserati a peu à peu industrialisé sa démarche et s’est consacrée aux voitures de route à partir du milieu des années 1950 avec la 3500 GT. Au fil des ans, d’autres créations marquantes ont jalonné l’histoire de la marque, telles que la Mistral de 1963, la Ghibli de 1966, la Bora à moteur central présentée en 1971 ou la grande famille des Biturbo, qui a vécu de 1981 à 1998.
Quels modèles constituent la gamme actuelle de Maserati ?
Pour 2025, le catalogue Maserati comporte trois modèles de base : la berlinette MC20 à moteur central accompagnée de son dérivé GT2 Stradale, les coupés et cabriolets de grand tourisme GranTurismo et GranCabrio ainsi que le SUV Grecale. L’intégralité de la gamme est disponible aussi bien avec des moteurs thermiques qu’en versions électriques, baptisées Folgore.
À qui s’adressent les modèles Maserati ?
Depuis la présentation de la 3500 GT en 1957, Maserati n’a jamais trahi son identité ; la firme a toujours attiré une clientèle de connaisseurs, épris tout autant de performances que de style et de raffinement. Aujourd’hui comme hier, les Maserati incarnent la quintessence du grand tourisme à l’italienne – une philosophie épicurienne et éclairée, qui place l’élégance au-dessus de tout.
Combien coûte une Maserati ?
Selon les modèles, la cote des Maserati peut très fortement varier. Si les moins chères des Biturbo naviguent autour des 7000 euros, la Ghibli des années 90 peut atteindre les 25 000 euros. Du côté des grandes classiques, la rarissime 5000 GT atteint désormais le million d’euros, tandis que les Mistral et Bora sont accessibles à partir de 200 000 euros. Grande rivale de la Ferrari Daytona, la Ghibli de 1966 vaut à présent jusqu’à 700 000 euros en version décapotable.
Que faut-il vérifier avant d'acheter une Maserati ?
Comme toute automobile d'exception, une Maserati doit faire l'objet de vérifications impératives et minutieuses. Ce sont des automobiles complexes, parfois fragiles, qui ne supportent pas l'à-peu-près en matière d'entretien et de réparations.
- Historique du véhicule : vérifiez que le carnet d’entretien est complet et que toutes les interventions ont été réalisées par des ateliers compétents, ou dans le réseau officiel du constructeur.
- État général et inspections spécifiques : une inspection approfondie par un spécialiste de la marque est vivement recommandée, en particulier pour les modèles construits jusqu'en 1998.
- Consommation de carburant : dotées de moteurs puissants (6-cylindres ou V8 dans la plupart des cas). Cette noblesse mécanique a bien entendu un prix en matière de consommation, et il convient de prendre ce paramètre en considération.
- Fiabilité et éléments à risque : chaque modèle a ses spécificités. Si le V8 utilisé dans les premières Ghibli ou les Bora témoigne d'une grande solidité, il n'en va pas forcément de même pour ce qui concerne le système électrique ou certains éléments périphériques. Si votre choix se porte sur un modèle de la famille des Biturbo, il vous faudra redoubler de vigilance, ces autos étant aussi performantes que fragiles mécaniquement.
- Coûts d’entretien et de réparation : les Maserati anciennes doivent être entretenues avec le soin et la compétence qu'elles méritent. Ce qui implique des coûts d'entretien et de réparation supérieurs à la moyenne, voire très élevés pour certaines opérations. N'hésitez pas à consulter les guides d'achat publiés dans la presse spécialisée pour en savoir plus.
En veillant à prendre l'ensemble de ces précautions, vous vous prémunissez contre les déconvenues éventuelles qui pourraient survenir à la suite d'une décision d'achat trop précipitée.
Pour en savoir plus sur les différents modèles et choisir celui qui correspond le mieux à votre profil, n'hésitez pas à demander une recherche personnalisée.
À qui appartient Maserati aujourd’hui ?
À l’heure actuelle, Maserati fait partie du groupe Stellantis, constitué en 2021 par la fusion opérée entre FCA (Fiat Chrysler Automobiles) et PSA Peugeot-Citroën. Rachetée par Fiat en 1993, Maserati a connu plusieurs propriétaires au cours de son histoire, dont la famille Orsi, Citroën puis Alejandro de Tomaso.
Quelle est la date de naissance de Maserati ?
Maserati a été fondée en 1914, à Modène, dans le nord de l’Italie. C’est l’une des plus anciennes marques de prestige encore en activité.